Transmission de l'entreprise à la 3e génération
18 juillet 2023Juin 2023 : Un nouveau chapitre s’ouvre pour l’entreprise Bülte !
Après 10 années passées dans l’entreprise, aux côtés de son père Stefan Bülte, Fanny Bülte, petite-fille du fondateur, reprend officiellement la direction de l’entreprise familiale.
Depuis la création de l'entreprise en 1956, par Norbert Bülte, les générations se succèdent… : après 8 ans d’expérience dans le domaine des pièces en polyamide, celui-ci décide de créer sa propre société de pièces d’assemblage et de fixations plastique. Il installe ses bureaux dans la ville de Lüdinghausen, en Rhénanie du Nord-Westphalie (Allemagne).
En collaboration avec des entreprises du secteur et des spécialistes, Norbert Bülte invente la rondelle de sécurité/étanchéité Bülte en polyamide.
En 1979, il est rejoint par son fils, Stefan Bülte, qui contribue à son développement international et implante l’entreprise Bülte Plastiques en France en 1986.
En 2013, Fanny Bülte, petite-fille du fondateur et fille du dirigeant, intègre l’entreprise familiale. Elle modernise les méthodes de travail et de commercialisation grâce à la digitalisation des procédés et de la stratégie de communication.
La 3e génération résolument tournée vers l'avenir
Désormais à la tête de l’entreprise après le départ à la retraite de son père, Fanny Bülte entend préserver l’héritage familial et pérenniser les valeurs et le savoir-faire qui font la force de l’entreprise depuis près de 70 ans.
L’entreprise conserve ainsi sa culture de proximité avec ses clients, qui fait sa marque de fabrique grâce à son équipe d’experts internationaux.
Consciente des enjeux fondamentaux actuels d’une filière qui doit se réinventer, la 3ème génération Bülte pérennise la dynamique de réindustrialisation de la France et de l’Europe.
Elle fait le choix d’honorer la culture familiale de l’entreprise, en restant attentive aux enjeux environnementaux et sociétaux de la production tels que l’urgence climatique, la consommation raisonnée des matières premières, la décarbonation de la filière mais également la nécessité d’un management et d’une gouvernance plus responsables.